Notre albergue n'est plus très loin.

Les ruines de San Anton _sur ce lien reconstitution virtuelle du monastère_

Nous avons quelques difficultés à trouver notre hospitalero.

Ici, pas d'électricité, pas de chauffage, une belle salle de bain mais pas d'eau chaude, nous ferons donc une toilette de chat.

Nous sommes reçues par un charmant monsieur qui nous préparera le repas du soir.

Nous profitons de cette belle journée ensolleillée à l'abri des ruines.

Plusieurs pèlerins s'arrêtent, un couple, un cycliste, un pasteur, mais aucun ne reste.

Nous serons donc seules ce soir, ce qui n'est pas pour nous déplaire.

Nous passerons une très bonne nuit, sous d'épaisses couvertures bien lourdes et rêches, type celles de l'armée.